đ A la dĂ©couverte de đ
Gang of slave et Bunker 68 de Max Obione
Gang of slaves est comme une brĂšve de Mai 68. Un pĂšre raconte Ă son fils nĂ© pendant ces Ă©vĂ©nements le souvenir dâune journĂ©e. Il retrace les sons, les images, les odeurs de cette journĂ©e qui nous plonge avec lui comme si on y Ă©tait.
Ces quelques pages expriment aussi les espoirs, les déceptions, les contradictions de ces journées mouvementées pour la France.
Bunker 68 nous entraĂźne avec Cinzano et CĂ©celle dans leur course effrĂ©nĂ©e. CĂ©celle est blessĂ©e, victime dâun tir du vigile lors dâun vol organisĂ© par le couple.
Lâobjet du dĂ©lit ? Des piles. Car nos deux lascars ne sont pas de grands criminels, juste deux Français terrorisĂ©s par lâĂ©tat du pays. Face Ă la grande menace rouge annoncĂ©e, aux blocages et aux privations, ils ont dĂ©cidĂ© de stocker le maximum de provisions dans leur bunker.
Deux nouvelles, deux visions radicalement diffĂ©rentes des Ă©vĂ©nements. Dâun cĂŽtĂ© la lutte et lâespoir, de lâautre la peur et les souvenirs encore vivaces dâune guerre pas si lointaine.
Le changement, lâexpression populaire doit-elle forcĂ©ment passer par la violence et les blocages. La France et les français doivent-ils sâopposer pour avancer?
Une question qui reste dâactualitĂ© face aux manifestations rĂ©guliĂšres, aux dĂ©rapages et aux craintes que cela gĂ©nĂšre.
đ Retrouvez ces deux nouvelles par ici
Comments